mercredi 14 mars 2007

AVEC LE PEN : SORTONS DE L’EUROPE !


Des tas de pays, bien plus faibles que la France, mènent aujourd’hui des politiques libres et indépendantes de toute tutelle extérieure. L’indépendance d’une nation c’est d’abord une affaire de volonté politique. Pourquoi les nations d’Europe devraient-elles avoir la même monnaie, le même gouvernement, la même constitution et la même manière de penser ? Pourquoi les Grecs (5000 ans d’histoire) devraient-ils vivre, penser et être soumis aux mêmes lois que les Anglais ? Eux qui, sous l’époque antique vivait de cité indépendantes les unes des autres ? Pourquoi n’auraient-ils pas le droit de se choisir des lois et des manières de vivre qui ne leur soient pas imposées par Bruxelles ?!

L’Europe n’est pas le progrès c’est au contraire la réaction. Détruire des cultures millénaires est-ce ça le progrès ? Transformer 450 millions d’Européens en autant de photocopies, réalisé une Europe Kosovo au profit du patronat sans frontières, est-ce ça le progrès ? La construction européenne porte, en son sein, les logiques d’un génocide culturel à l’échelle d’un continent.

Pendant la guerre froide, c’est l’équilibre de la terreur et la présence massive d’armes nucléaires qui ont empêché un affrontement entre l’OTAN et les pays du Pacte de Varsovie. Encore récemment, l’Europe s’est montrée incapable d’empêcher les guerres du Kosovo et d’Irak. Depuis le Traité de Maastricht (décembre 1991) et ses célèbres « critères de convergence », les pays de la zone euro ont les taux de croissance les plus bas de la planète (selon l’OCDE).

Tous les économistes indépendants sont d’accord pour dire que l’Europe et ses directives économiques aberrantes sont à l’origine de cette situation. On ne gère pas une agence de publicité comme on gère une boulangerie-pâtisserie ! Les pays qui n’ont pas les mêmes besoins, les mêmes problèmes et les mêmes aspirations doivent disposer de politiques différentes et adaptées. On pourrait très bien relancer une politique industrielle, favoriser nos exportations par une sous-évaluation du Franc, aider à la protection de notre environnement par des exonérations fiscales, valoriser notre agriculture par une politique renforcée d’appellations d’origine contrôlée, coopérer avec les pays de l’espace francophone partout à travers le monde plutôt que de se cantonner à un espace européen étriqué, toutes choses que nous interdit Bruxelles et ses directives.

L’Union Européenne veut imposer un modèle unique à un continent riche de ses nations et de leurs diversités ; cette Union qui nie les nations qui la composent, est en réalité une anti-Europe ! Une négation des peuples, des cultures et de leur histoire. Il appartient au peuple Français de choisir son destin ! Il lui appartient de préférer la plus grande France à l’Union européenne, la liberté à l’apatridie ! « Avec Le Pen sortons de l’Europe » et « Vive la France libre ! »

Communiqué du collectif « Les nationalistes avec Le Pen »

À lire :

Et si la France quittait l’Union européenne ? De Robert Clavijo.
120 pages, 15 euros.
Le grand échec européen. Une seule solution pour la France : sortir de l’Union européenne ! De Pierre Leconte. 272 pages, 19 euros.




Livres disponibles aux éditions : François-Xavier de Guibert. 3 rue Jean-François Gerbillon, 75006 Paris

1 commentaire:

Anonyme a dit…

tout a fait d'accord. restons solidaires entre pays européens mais retrouvons notre souveraineté nationale.