samedi 31 mars 2007

On a retrouvé le fraudeur de la Gare du Nord !




Et en plus il parraitrait qu'il est en train de se tirer avec notre pognon !

jeudi 29 mars 2007

L'Europe des régions, au service de l'Etat mondial



À tout ceux qui nous expliquent que Jean-Marie Le Pen est un traître, à tous ceux qui prônent l'Europe des régions tout en soutenant des intellectuels ou des médias sionistes, qu'ils avouent ce qu'ils savent : La régionalisation de l'Europe n'est qu'un moyen, elle permettra le démembrement politique de l'Europe au profit d'une domination unique, celle de l'Empire états-unien ! Un seul désir aux pères maçons et métis de cette Europe aux cents drapeaux : la transformer en Kosovo généralisé.


La construction européenne dépend de l'idée que l'on s'en fait ainsi que de son rôle dans le monde, préparer les mentalités (surtout dans "l'opposition au nouvel ordre mondial") s'avère essentiel. On peut presque parler de "révolution conceptuelle". L'ex-URSS a été dans un premier temps un obstacle à la vassalisation de l'Europe au profit du capitalisme apatride et putride, cette fausse opposition paraissait encombrante, elle est pourtant de plus en plus suivie comme un modèle pour l'Union européenne. L'interdépendance (politique qui existait entre les différents pays de l'URSS) est de plus en plus reprise. L'interdépendance et le transnational y ont fait leurs premières armes, Jimmy Carter reconnaissait fort volontiers que si la guerre froide était un problème important, d'autres guerres sont en train de s'inscrire à travers l'interdépendance, bonne lorsqu'elle aide l'Amérique, mauvaise lorsque c'est le contraire ! Pour eux, l'URSS est morte de ne pas s'être ouverte, les causes politiques sont oubliées. Après avoir conduit à la création de l'Union européenne pour l'Europe occidentale permettant ainsi de la soustraire à l'influence soviétique, les États-Unis encouragent aujourd'hui l'intégration de cette dernière. L'Union souhaite absorber la Russie et broyer ses États-membres en une myriade de régions pour se transformer en une vaste zone de libre-échange protégée par la puissance militaire atlantiste. Cette Union européenne ne concerne pas que l'Union présente, mais est conçue pour s'étendre à toute l'Eurasie. Là encore, l'idée de ne plus parler d'Europe mais d'Eurasie s'avère essentielle et plus qu'utile, c'est un plan mondial, ne l'oubliez pas ! Tous les États d'Europe centrale, les États baltes, l'Ukraine, la Russie, les États du Caucase et la Turquie sont déjà intégrés dans ce projet européen ou plutôt euro-atlantique. La Turquie fera le lien vers les territoires du Moyen-Orient, mais ce n'est qu'une étape minime. L'adhésion à l'Union est un moyen, non de réaliser une unité européenne, mais bien de démembrer le continent. Aucun doute là-dessus, la seule Europe qui fut, où les hommes de tous les pays se retrouvaient soudés par un même idéal, fut une Europe des nations, réécrire l'histoire permet de justifier le discours ("l'histoire est un mensonge que personne ne conteste" Napoléon). La régionalisation, présentée comme un moyen de défendre les identités, de rapprocher les citoyens des lieux de décisions, n’est qu'un artifice pour prévenir l'émergence d'une Europe-puissance en application de la « doctrine Wolfowitz », en référence à cet israélite américain, secrétaire d'État adjoint à la Défense entre 2001 et 2005 dans le gouvernement de George W. Bush et président actuel de la Banque mondiale.


Peu de temps avant de quitter la Maison-Blanche, le président Clinton a présenté la vision états-unienne de l'Europe dans un discours magnifiant le bloc transatlantique. « (...) l'unité de l'Europe est en train d'engendrer quelque chose de véritablement neuf sous le soleil : des institutions communes plus vastes que l'État-nation parallèlement à la délégation de l'autorité démocratique aux échelons inférieurs. L'Écosse et le Pays de Galles ont leurs propres parlements. L'Irlande du Nord, dont ma famille tire son origine, a retrouvé son nouveau gouvernement. L'Europe est pleine de vie et résonne à nouveau des noms d'anciennes régions dont on reparle - la Catalogne, le Piémont, la Lombardie, la Silésie, la Transylvanie etc. - non pas au nom d'un quelconque séparatisme, mais dans un élan de saine fierté et de respect de la tradition. La souveraineté nationale est enrichie de voix régionales pleines de vie qui font de l'Europe un lieu garantissant mieux l'existence de la diversité (...) »
Je vous le demande, de qui se moque-t-il ? De vous ! L'Amérique bénit le transfert de pouvoir politique des États vers les régions. Désormais, la « région-État » se pare d'une autonomie politique de plus en plus grande dans les domaines qui touchent l'administration, la justice, les systèmes bancaire et postaux ou encore l'éducation, cette dernière devenant de plus en plus - quoiqu'en disent les autorités officielles - une éducation régionale. Or, ces instances politiques régionales sont conduites à traiter directement avec les instances supranationales de Bruxelles en court-circuitant l'autorité nationale. Voilà une aubaine formidable pour les lobbies apatrides : par l'intermédiaire de Bruxelles, on va pouvoir briser les Alsaciens, les Lombards, les Catalans, les Bavarois, les Bretons, les Monténégrins, etc.


Dans cet asservissement, l'Allemagne est essentielle. Pourquoi ? À l'origine de la régionalisation en Europe, il y a la Recommandation 34 (1997) du Congrès des pouvoirs locaux et régionaux d'Europe. Elle soumet le continent aux concepts institutionnels que l'alliance américano-britannique lui a imposés à la Conférence de Postdam (11 juillet au 2 août 1945) et lors de la création de la bizone d'occupation (2 décembre 1946). Il s'agissait à l'époque de donner un rôle amplement plus important aux Länder pour casser la centralisation du IIIe Reich et priver l'Allemagne du statut de grande puissance. On peut donc dire que l'Europe aux cents drapeaux trouve son origine dans la dénazification de l'Europe. Ce dispositif avait été approuvé par la France qui, selon le mot de Mauriac, à propos des zones d'occupation, aimait tant l'Allemagne qu'il préférait qu'il y en eût plusieurs. En outre, les Anglo-Saxons figèrent ces institutions en sacralisant la Constitution allemande et en créant une Cour constitutionnelle indépendante à Karlsruhe.


Dans un tel contexte d’assaut contre les historiques Etats-Nation de notre continent, dans l’intérêt de nos enfants et de notre identité, il est urgent de défendre la conception nationale, la seule qui soit ! Dans un tel affrontement mondial, il est évident que l’on doit s’opposer bloc à bloc, s’organiser en une puissante alliance qui garantisse la paix, la stabilité et le progrès de l’Europe, mais cela ne peut se faire qu’avec le maintien des indépendances nationales ! Jean-Marie Le Pen est le seul candidat qui nous fera sortir de l’Europe, il est le seul candidat anti-système, n’écoutez pas la voix des sirènes du mal : Le socle d’ une nouvelle alliance contre l’internationalisme apatride, doit absolument être la France nationaliste et la Russie nationalistes. Ils sont les seuls, compte tenu de leurs prédispositions stratégiques et géographiques, capable de défendre l’intérêt général des races européennes. « La Patrie est toujours défendue par les gueux, livrée par les riches. » (Charles Péguy)

PAS UNE VOIX NATIONALISTE CONTRE LEPEN ! POUR UN NOUVEAU 21 AVRIL ! POUR UNE NOUVELLE VICTOIRE DE LA FRANCE D’EN BAS SUR LA FRANCE D’EN HAUT ! QUI VIVE ? FRANCE !

Communiqué du collectif « Les nationalistes avec Le Pen »
http://lesnationalistesaveclepen.blogspot.com/

La France aux Français !

L'Europe, le rêve ?




J'illustre ce communiqué du Front National d'une carte bien édulcorée par le quotidien le Monde(oubli des migrations internes et estimation drastiquement inférieure à la réalité).


"A l’occasion de l’inauguration du nouveau siège de la prétendue « agence européenne de contrôle des frontières » (Frontex), son directeur adjoint Gil Arias avertit que l’immigration va s’aggraver et qu’il faut s’attendre à des entrées massives de clandestins.


Il regrette que les Etats européens se reposent sur Frontex alors, dit-il, que c’est aux Etats concernés de surveiller leurs frontières.Telle est l’hypocrisie criminelle de la politique européenne. D’un côté on met en place une politique communautaire, avec Frontex, censé l’appliquer. Mais comme Frontex, avec ses 78 fonctionnaires, est évidemment incapable de surveiller les frontières extérieures de l’Union, on rejette la responsabilité sur les Etats, qu’on a préalablement dépouillés de tout moyen d’action.


Eh bien prenons au mot M. Arias. Reprenons le contrôle de nos frontières, rétablissons une politique nationale qui puisse faire barrage aux torrents migratoires."


Criminel! Combien de drames humains? Combien de victimes? Sacrifiés ainsi avec les états nations, sur l'autel de cette Sainte Europe si irresponsable! Ce véritable scandale, aveux d'impuissance, dont les mots savamment choisis dissimulent mal l'alarmisme et l'échec total de l'euromondialisme, démontre si il en était encore besoin qu'il est grand temps de reprendre l'état en main, et de rendre à la France sa souveraineté totale. Dans une hypocrisie sans nom, les dirigeants européens rejetent la faute sur les états nations, déjà à demi-démantibulés et asservis. La descente aux enfers n'est plus dissimulable. Ne tombons pas avec cette Europe!


SOUHAITEZ-VOUS ÇA POUR VOS ENFANTS ?










NON ? ALORS LE 22 AVRIL... VOTEZ LE PEN !

jeudi 22 mars 2007

Pourquoi le système ne peut pas vaincre Le Pen de "Front" !



Il s’agit d’un sondage « 5 questions pour 5 ans » réalisé par Novatris/Harris interactive pour RTL le 22 mars 2007. Dans ce sondage, sur 1000 personnes dont 270 se revendiquant de droite et 33 d’extrême droite, RTL voit tout sauf l’acceptation irréfutable par le peuple des idées phares de Le Pen.

Ce sondage se différencie des sondages "classiques" puisqu'il étudie l'impact des idées et des propositions des candidats sur les français. Les douze ont en effet chacun présenté aux français 5 questions.

On savait déjà que la préférence nationale avait, parmi les citoyens français, le vent en poupe. C’est maintenant loin d’être une exception du programme lepéniste. J’y vois encore des signes avant-coureurs (il y en a tant) de la déferlante nationale qui frappera de plein fouet le système vieillissant dès le 22 avril, dans un mois jour pour jour maintenant.

Thème : Immigration, social et préférence nationale

48% des interrogés sont pour l’abrogation de la double nationalité, autant sont favorables pour la fin du regroupement familial.
62% pensent que les aides publiques (allocations, etc.) devraient être prioritaires aux français.
52% sont défavorables au droit de vote des Étrangers au bout de trois ans sur notre sol (soutenu par Sarkozy).

74% contre la régularisation massive de sans papiers (désolé M. Besancenot, en plus, c'est sa propre question).
75.5% veulent que l’on supprime les allocations chômage aux personnes qui refusent par deux fois une proposition d’emploi correspondant à leur profil ou à leur situation.

Education

96.1% approuvent un encadrement Éducatif renforcé pour les mineurs délinquants.
81% favorables à la suppression des allocations des parents coupables de manquement graves dans l’Éducation de leurs enfants. (logique encore une fois, concordera avec les autres mesures sociales du FN)
52.3% en faveur de la réactualisation du port de l’uniforme à l’École (dans le primaire et le secondaire. résultat là encore surprenant. Le retour à l’autorité commence par là ).

Ecologie

56% contre la réduction de l’exploitation du nucléaire. (sans surprise, c'Était juste pour Dominique).

Europe et mondialisme

53.6% se sentent uniquement citoyen français et non européen (faudrait-il sortir de l’Europe ?).
52.4% ne veulent en aucun cas de la Turquie dans l’UE.
52% souhaitent la révision des principaux traités européens (encore un désaveu cinglant pour les euromondialistes du système, qui de toute façon n’en tiendront pas compte. Quand le peuple gronde un peu fort, là dehors, nos Élites se contentent de fermer la porte, puis parlent aux caméras en notre nom, mais continuent pourtant à nous mépriser... Ne nous décourageons pas !).

Scrutins et mandats.

81% favorables à la proportionnelle totale pour les scrutins (législatives). (l’Évidence même, ce sur quoi le système reste bien silencieux. Il faudrait même imposer les modes de scrutin en un seul tour, pour Éviter les alliances.).

89.8% pour un mandat unique (ce qui éviterait la démagogie. Pour ma part je proposerais un plébiscite pour que le peuple juge le bilan du président sortant. Si plus de 60% de gens le jugent positif, il pourra se représenter. Le peuple ne pourrait pas s'y tromper).



Preuve est faite que lorsque l’on demande son avis au peuple, on obtient bien des surprises, souvent totalement en décalage avec les tenants du système, censé le représenter. CQFD, mais tout cela nous le savions déjà . Reste à convaincre ceux qui sont maintenus ou qui se maintiennent sciemment hors de la vérité.

Au passage signalons que la candidate PS de la gauche biaisée du système, a encore une fois fait preuve de sa fantastique et désormais légendaire mièvrerie. Sa première question, qui ne propose rien, a tout du test bateau des années collèges.

Q1 : A votre avis, qui décide des heures supplémentaires dans une entreprise ?
1. L’employeur.
2. L’employé.
3. Vous ne savez pas.

La seconde n’est pas mal non plus, elle se passe de commentaire :

Q2. Estimez vous que lorsqu’il y a beaucoup de gens autour de nous qui ne sont pas heureux, on peut Être :
1. Très heureux
2. Assez heureux
3. Peu heureux
4. Pas du tout heureux

Je vous laisse en rire gentiment. Vous comprenez mieux pourquoi j’ai applaudi l’investiture de Marie Ségolène, qui est définitivement et irréfutablement la meilleure pour faire perdre son propre parti.

Karel (http://pourquoi-le-pen.blogspot.com/

L'OEUVRE FRANCAISE, GRAND MOUVEMENT HISTORIQUE, SOUTIEN NOTRE ACTION


Lors de l’élection présidentielle des 22 avril et 6 mai 2007, Jean-Marie Le Pen est clairement le seul représentant du courant national. Au-delà de sa personne et de son mouvement, il est le symbole d’une France qui ne veut pas mourir et qui entend conserver ou plutôt recouvrer son indépendance, son identité, sa liberté, sa souveraineté face à une immigration massive qui la submerge et face à un européisme libre-échangiste et mondialiste qui détruit son agriculture, son industrie, ses services, précipite les faillites d’entreprises et les délocalisations et démantèle les uns après les autres ses attributs de souveraineté : la maîtrise de son territoire avec la suppression des frontières, sa monnaie nationale, le Franc, avec la mise en place d’une monnaie d’occupation, l’euro, l’indépendance de sa politique budgétaire avec l’insupportable mainmise de la Banque Centrale Européenne, son drapeau auquel se substitue l’emblème européiste, son armée dont les effectifs et les moyens sont dramatiquement réduits et à laquelle on impose d’être le supplétif d’un nouvel ordre mondial.

Tant au niveau national qu’international, Jean-Marie Le Pen est le talentueux porte-voix des nations qui veulent résister au rouleau compresseur du mondialisme, de l’antiracisme unilatéral, de la police de la pensée. Il est le porte-parole d’un peuple français qui entend être maître chez lui, rester fidèle à ses valeurs traditionnelles et assurer sa pérennité.


Dans le cadre de l’Union patriotique, l’Œuvre française affirme tout naturellement son soutien à la candidature nationale et de salut public de Jean-Marie Le Pen et appelle tous les nationalistes français sincères, au-delà des divergences politiques et doctrinales qu’ils peuvent avoir avec le président du Front national, à voter en sa faveur aux deux tours du scrutin présidentiel pour affirmer leur volonté d’une France française.


20 mars 2007


www.oeuvrefrancaise.com

mardi 20 mars 2007

UMPS : Le monstre est de retour !



VOTER SARKO, C'EST VOTER STALINE !


Pour resserrer les liens des Etats-Unis avec ses alliés, le projet de Bush est de convertir l'Europe à l'idéologie américaine, avec l'aide de leaders politiques européens comme Nicolas Sarkozy...
Avec leur enlisement en Irak, les Etats-Unis se sont rendu à l'évidence qu'ils avaient besoin d'alliés pour bénéficier d'un minimum de consensus international en leur faveur. L'administration Bush a donc décidé de resserrer les liens avec les alliés européens, mais sans être disposée pour autant à pratiquer davantage le dialogue et la concertation.
La solution imaginée par l'administration Bush pour bénéficier d'un plus large soutien à l'avenir est de convertir l'Europe et sa population à l'idéologie et aux valeurs des néo-conservateurs américains, et en favorisant la prise du pouvoir par des leaders acquis à cette idéologie.
Après la réélection de Bush, on peut donc s'attendre à une poussée du libéral-stalinisme américain vers l'Europe. La personnalité politique européenne la plus proche de cette idéologie est Nicolas Sarkozy, qui vient de prendre le contrôle du principal parti de droite en France, le pays le plus réticent à la guerre en Irak, et donc le plus urgent à convertir selon l'administration Bush.
Nicolas Sarkozy défend les mêmes orientations politiques que George W. Bush : réduction des libertés au nom de la sécurité, accroissement de la répression policière, communautarisme et discrimination positive, ultra-libéralisme économique, et retour de l'oecuménisme religieux dans la politique. Et lorsque Nicolas Sarkozy aura abattu toutes ses cartes, il prônera comme Bush une politique étrangère basée sur la guerre.
L'objectif défini par Bush était de prendre le contrôle du pétrole irakien et de démontrer la puissance militaire américaine contre tous les pays qui oseraient s'opposer à eux. Les "solutions" les plus expéditives ont été choisies: invasion militaire de l'Irak, et pratique généralisée de la torture. Mais Bush a superbement ignoré les conséquences sur d'autres domaines tels que le respect du droit international et des droits de l'homme, ainsi que le coût humain, diplomatique et financier de la guerre en Irak. On retrouve les mêmes méthodes avec Nicolas Sarkozy.
Des années 1980 jusqu'en 2000, les "Maîtres du Monde" étaient unis par un "consensus" basé sur le libéralisme économique et une mondialisation multilatérale (c'est à dire où les décisions sont prises de façon concertée par l'ensemble des pays en fonction de leur poids économique). Mais une fraction des Maîtres du Monde liée au lobby militaro-industriel américain a fait le choix d'un autre avenir: celui d'un monde dirigé de façon unilatérale par un Empire Américain désormais entièrement contrôlé par les multinationales.
Depuis l'invasion de l'Irak, les Maîtres du Monde sont divisés entre les partisans du multilatéralisme, et les partisans d'un nouvel ordre mondial stalinien et militariste.
Les deux groupes continuent néanmoins de partager un objectif commun: l'instauration d'un "nouvel esclavage" grâce au libéralisme économique et à la mondialisation (qui permet l'alignement des salaires par le bas en mettant tous les salariés du monde en concurrence directe).

La démocratie chez les soviets !

Le maire UMP de Vanves userait-il de méthodes néo-staliniennes ? En effet, un de ses adjoints s’étant rendu sur le net afin de savoir ce qui se passait dans sa cité, s’est inquiété que la « très nationaliste » ASP (Action Sociale Populaire), organise à l’attention de ses nombreux amis, le 25°mars prochain, l’inauguration et la visite de ses nouveaux locaux sur son ban communal.

Aussitôt, le Capitaine de police du Commissariat local, aux ordres, a pris contact avec le Pasteur Blanchard, afin de savoir l’adresse exacte de ladite réunion et se renseigner sur les activités de l’association. Alors, tentative de pression ou interdiction larvée ? Allez savoir ! Le Pasteur Blanchard a fait les protestations habituelles d’usage, et précisé que, cette réunion pacifique se passant sur un terrain privé, il n’avait de comptes à rendre à personne.

Sachant que le marché aux Puces de ladite commune comprend de nombreux stands de propagande coranique, on peut se demander s’il n’y a pas deux poids, deux mesures, entre les pauvres allogènes bâillonnés dans leur propre pays et la population allogène (bientôt majoritaire) et jouissant de tous les droits. De même, on peut s’interroger, en cette veille d’élection présidentielle, si une telle attitude démocraturesque permettra aux « de souche » de prendre conscience de ses maux de sociétés et de voter en conséquence ?

Le Service de Relation Presse de l’ASP, le 19/03/07

SOYEZ REVOLUTIONNAIRE : VOTEZ LEPEN !

jeudi 15 mars 2007

NOTRE FORCE EST D'AVOIR RAISON !


« Fin d’un suspense : Les énergumènes qui se disait contre Jean-Marie et qui se prétendaient forts du concours de deux cent cinquante personnalités dont on n’a jamais vu la couleur, appellent finalement à voter pour le candidat de l’union des patriotes. À reculons, mais bien obligés. En dépit de leur virulente campagne d’arrière-garde motivée par de vieux ressentiments personnels, la dynamique pro-Le Pen qui se dessine dans les tréfonds du corps électoral ramène à une position politique les lâches qui étaient tentés de détruire, et ce faisant, de jouer le jeu des pires adversaires de la Nation française.

« La politique du pire, disait Maurras, est la pire des politiques. C’est ce que le groupe des « nationalistes avec Le Pen » a réussi à faire comprendre à tous par d’intenses discussions sur le forum http://lesnationalistesaveclepen.blogspot.com/. La transparence et la loyauté ont fini par payer : nos soutiens, bien réels eux, nous les avons publiés, les manœuvres de quelques individus n’ont abouti qu’à renforcer l’armée de ceux qui, comme nous, voient dans le vote Le Pen un levier pour déstabiliser davantage encore le Système, ébranlé dans ses certitudes depuis le 21-Avril et le 29-Mai. Cette victoire, qui conforte la candidature Le Pen, n’aurait pu être acquise sans le soutien actif de nationaux de tous horizons : L’Action sociale populaire (J.-P. Blanchard) ; Altermédia (E. d’Aubignosc) ; L’Echo Parisien (C. Bozonnet) ; Egalité & Réconciliation (A. Soral) ; Gauche nationale-Front du Travail (K. Herbin) ; Librairie nationale (Georges) ; La Licorne bleue (T. Dreschmann) ; Mouvement social et patriotique (G. Gennaro) ; Parti populiste (Chr. Perez) ; Ph. Randa, écrivain ; Salut public (Igor) ; Vox-N.R. (Chr. Bouchet).

« Ces jeux empoisonnés, ces hésitations funestes avaient peut-être leur fondement tant qu’un doute subsistait sur la présence de Jean-Marie Le Pen à l’élection présidentielle. Certains fourriers du sionisme politique obnubilés par le terrorisme islamiste pouvaient souhaiter hâter sa sortie de la scène politique en l’empêchant d’être candidat… Aujourd’hui que les signatures sont rassemblées et enregistrées, les réserves ne sont plus de mise ! Il ne s’agit plus de politique de parti, mais d’un grand sursaut français, celui du 22 avril prochain ! L’abstention, la tiédeur des Français les plus conscients ne seraient pas admissibles : il faut nous comporter en hommes, en patriotes dignes de nos aînés !

« Il faut combattre, avec l’arme qui est à notre portée, le bulletin de vote Le Pen, le Système ripoublicain qui menace notre Pays de la ruine la plus totale de son histoire ! Aucun autre candidat ne présente de garanties aussi sûres au point de vue national que lui. Qu’il ait commis, comme d’autres, des erreurs tactiques ne diminue en rien la justesse de ses vues, vérifiées depuis trente ans. C’est bien pour cette raison, et parce que son langage porte dans les esprits et les cœurs, que nos concitoyens, notamment les sans-grade des couches populaires, plus nombreux au fur et à mesure que le premier tour approche, voient en lui l’ultime planche du salut public. Ne nous le dissimulons pas par faiblesse, peur, lassitude ou désenchantement : ce capital est précieux, nous devons le faire fructifier pour le bien général. Chacun a son rôle à jouer pour que, demain, puisse refleurir enfin le printemps de la Patrie! Vive la France ! »

mercredi 14 mars 2007

AVEC LE PEN : SORTONS DE L’EUROPE !


Des tas de pays, bien plus faibles que la France, mènent aujourd’hui des politiques libres et indépendantes de toute tutelle extérieure. L’indépendance d’une nation c’est d’abord une affaire de volonté politique. Pourquoi les nations d’Europe devraient-elles avoir la même monnaie, le même gouvernement, la même constitution et la même manière de penser ? Pourquoi les Grecs (5000 ans d’histoire) devraient-ils vivre, penser et être soumis aux mêmes lois que les Anglais ? Eux qui, sous l’époque antique vivait de cité indépendantes les unes des autres ? Pourquoi n’auraient-ils pas le droit de se choisir des lois et des manières de vivre qui ne leur soient pas imposées par Bruxelles ?!

L’Europe n’est pas le progrès c’est au contraire la réaction. Détruire des cultures millénaires est-ce ça le progrès ? Transformer 450 millions d’Européens en autant de photocopies, réalisé une Europe Kosovo au profit du patronat sans frontières, est-ce ça le progrès ? La construction européenne porte, en son sein, les logiques d’un génocide culturel à l’échelle d’un continent.

Pendant la guerre froide, c’est l’équilibre de la terreur et la présence massive d’armes nucléaires qui ont empêché un affrontement entre l’OTAN et les pays du Pacte de Varsovie. Encore récemment, l’Europe s’est montrée incapable d’empêcher les guerres du Kosovo et d’Irak. Depuis le Traité de Maastricht (décembre 1991) et ses célèbres « critères de convergence », les pays de la zone euro ont les taux de croissance les plus bas de la planète (selon l’OCDE).

Tous les économistes indépendants sont d’accord pour dire que l’Europe et ses directives économiques aberrantes sont à l’origine de cette situation. On ne gère pas une agence de publicité comme on gère une boulangerie-pâtisserie ! Les pays qui n’ont pas les mêmes besoins, les mêmes problèmes et les mêmes aspirations doivent disposer de politiques différentes et adaptées. On pourrait très bien relancer une politique industrielle, favoriser nos exportations par une sous-évaluation du Franc, aider à la protection de notre environnement par des exonérations fiscales, valoriser notre agriculture par une politique renforcée d’appellations d’origine contrôlée, coopérer avec les pays de l’espace francophone partout à travers le monde plutôt que de se cantonner à un espace européen étriqué, toutes choses que nous interdit Bruxelles et ses directives.

L’Union Européenne veut imposer un modèle unique à un continent riche de ses nations et de leurs diversités ; cette Union qui nie les nations qui la composent, est en réalité une anti-Europe ! Une négation des peuples, des cultures et de leur histoire. Il appartient au peuple Français de choisir son destin ! Il lui appartient de préférer la plus grande France à l’Union européenne, la liberté à l’apatridie ! « Avec Le Pen sortons de l’Europe » et « Vive la France libre ! »

Communiqué du collectif « Les nationalistes avec Le Pen »

À lire :

Et si la France quittait l’Union européenne ? De Robert Clavijo.
120 pages, 15 euros.
Le grand échec européen. Une seule solution pour la France : sortir de l’Union européenne ! De Pierre Leconte. 272 pages, 19 euros.




Livres disponibles aux éditions : François-Xavier de Guibert. 3 rue Jean-François Gerbillon, 75006 Paris

Jean-Marie LE PEN sera candidat !!!!


Mercredi 14 Mars 2007

Jean-Marie LE PEN déposera, aujourd'hui,
au Conseil Constitutionnel, ses promesses de signatures.

Jean-Marie LE PEN, Candidat à la Présidence de la République, déposera, aujourd'hui, mercredi 14 mars à 17h30, au Conseil Constitutionnel, ses promesses de signatures. Il sera accompagné de Marine LE PEN, Vice Présidente, du Secrétaire Général, Louis ALIOT, de Fernand LE RACHINEL, Député européen et de Michel GUINIOT, Conseiller Régional.

lundi 12 mars 2007

Interview d'Alain Soral, Besancenot en a peur !






Interview Alain Soral - kewego
Interview Alain Soral - kewego

Le Parti populiste remercie Jean-Marie Le Pen



Je remercie Jean Marie Le Pen d’avoir réuni à ses côtés à Lyon, la plus grande partie des représentants du Camp national, et cela dans le cadre de l’Union des Patriotes. Je remercie également Bruno Gollnisch et tous les organisateurs de cette manifestation pour la qualité de leur accueil.
Le Parti Populiste que je représentais, a intégré l’Union des Patriotes dès sa création, et soutient la candidature de JMLP pour 3 grandes raisons.
1ere Grande raison
En septembre 2005, lors de la fête des BBR, JMLP a appelé à l’Union des Patriotes, en janvier de la même année, lors de la création du PP, nous avions donné comme sous titre à notre structure « le Rassemblement des Patriotes », nous étions donc bien déjà sur la même longueur d’onde !
Que cette initiative se nomme Union ou Rassemblement, peu importe, l’essentiel est que la réconciliation des nationaux soit un fait, le reste découle de ce fait, JMLP est donc le candidat naturel des nationaux.
2e grande raison
Nous pensons au Parti Populiste, que le futur Président de la République Française sera confronté à un véritable malstrom économique, immigrationniste, religieux et également très probablement climatique.
Pour affronter cela, il lui faudra une trempe hors du commun, une dimension d’homme d’état et une expérience politique considérable.
Or, sans même parler d’idéologie ou de politique, ces trois qualités nous semblent inexistantes parmi la bande des 3 Européistes, Bayrou, Sarkozy, ou Ségolène.
Le discours prononcé à Lille par JMLP, montre à la lumière de l’analyse de ce qu’il a appelé les 4 grands invisibles, qu’il sait que gouverner c’est prévoir !
Comme il l’a montré, ces quatre grands invisibles vont façonner notre avenir et celui de nos enfants
- L’invisible agricole, n’est pas la simple question des OGM et de la fin des paysans, mais au contraire, celle du matin des paysans. Du grand avenir que nos agriculteurs vont avoir. A condition de ne pas les éliminer d’ici-là. Et de ne pas empêcher leurs enfants de s’installer à la ferme.
- L’invisible du vieillissement du monde, qui va opposer jeunes et vieux et qui procurera à nos générations un sérieux problème de retraites.
- L’invisible de la révolution de l’ordinateur quantique, chance pour notre civilisation Européenne, qui ouvrira des marchés économiques insoupçonnés.
- L’invisible enfin du capitalisme financier qui a engagé la guerre contre les Etats, les peuples, les nations. La guerre contre les lois et les Républiques.
Ce type d’analyse est absent du discours vide et polémique des autres candidats qui, le nez dans le guidon à l’image de Sarkozy, s’étonnant il y a quelques jours (des conséquences de la création du Conseil Français du Culte Musulman, crée par lui-même !!!) dans l’affaire des caricatures d’Allah parues dans Charlie Hebdo, ou de Ségolène Royal, qui dans l’affaire d’Airbus, propose l’intervention financière des Régions, intervention dont les conséquences économiques seraient catastrophiques, car en vertu du principe qui veut que quand on donne à l’un, il est difficile de ne pas donner à l’autre, on verrait alors toutes les entreprises en difficultés (et Dieu sait qu’il y en a) venir quémander une aide de ces Régions.
Et oui, tout est là, JMLP montre qu’il à la dimension d’un homme d’état, nous parlions plus haut des deux autres qualités nécessaires à notre sens, à savoir l’expérience politique et la trempe…….de ce côté-là, avec lui pas de souci !
3e grande raison
La clé de cette élection présidentielle, c’est l’Europe, car :
- Pour sortir la France de son ornière, où il vaut presque mieux être clandestin que salarié ou retraité, car en tant que clandestin on est nourri, logé et soigné gratis !
- Pour instaurer un protectionnisme intelligent, qui seul permettra à nos entreprises de redevenir compétitives, car il est impératif de les aider à se fixer sur le sol national, plutôt que de les laisser délocaliser.
- Pour baisser notre taux de TVA dans certains secteurs, comme celui des services, pour y développer l’emploi…….Il faudra obligatoirement reprendre à l’Europe, et ce par la négociation, notre capacité de décision économique, juridique et politique.
Et cela JMLP est le seul à l’avoir compris, le seul à le vouloir, donc à le pouvoir, il sera le 22 avril et le 6 mai, le seul défenseur du NON à la Constitution Européenne seul face aux 3 européistes que sont Bayrou, Sarkozy et Ségolène, et c’est pour cela que le Par ti Populiste le soutient et lui présente tous ses vœux de réussite.

Vive l’Union des Patriotes ! Vive la France !

Appel d'un militant de la Gauche nationale au général Bigeard, pour la survie de la France...


"Mon Général,

Il y a maintenant un an, je vous écrivais une missive dans laquelle je vous demandais d'apporter votre soutien officiel à Jean-Marie Le Pen. Vos écrits prouvent indéniablement que s'il existe un homme politique avec lequel ils sont en osmose quasi totale, il s'agit bien du président du FN.

Il ne manque plus à ce dernier aujourd'hui pour pouvoir se présenter à l'élection suprême qu'une poignée de signatures. D'autres, se réclamant d'une idéologie contre laquelle vous avez combattu les armes à la main et responsable de la mort de dizaines de millions d'innocents, n'ont eu aucune difficultés pour obtenir les parrainages tant convoités. De simples citoyens, comme votre humble serviteur, n'ont pas hésité à solliciter le Maire de leur commune, au risque de subir l'opprobre publique car à la campagne tout se sait, afin qu'un candidat de premier plan sur l'échiquier politique Français puisse légitimement concourir.

La couardise étant certainement l'attitude la plus répandue dans notre malheureux pays, notre démarche s'est quasiment partout heurtée à des faux-fuyants "raisonnables" mais tellement mesquins... Si Mr Le Pen ne pouvait etre présent sur les rangs des prétendants à la fonction de Président de la République, il en résulterait une profonde crise institutionnelle dont l'Histoire tiendra pour responsables ceux qui avaient la possibilité de l'éviter.

Vous m'aviez, dans votre réponse, informé que vous vous accordiez le temps de la réflexion. Puisse l'année écoulée vous avoir vu prendre la décision logique qui serait susceptible de contribuer au sauvetage de notre pauvre pays ou tout au moins de lui accorder un sursis. Pour la France et pour l'avenir de ses enfants je vous conjure de faire une fois de plus votre devoir. Il m'est impossible d'imaginer qu'il puisse en être autrement.

Veuillez recevoir, mon Général, l'affirmation de mon plus profond et plus sincère respect.

ROSSEL ancien para aux 1er et 3em RPIMa "

dimanche 11 mars 2007

UNION DES PATRIOTES : Les querelles passées ne sont rien, la France est tout !

Jean-Marie Le Pen a donné dimanche à Lyon le gage à sa stratégie de rapprochement avec son ancien lieutenant Bruno Mégret, faisant estrade commune avec lui devant près de 3.000 personnes sans toutefois le laisser s’exprimer devant le public.
Assis sur un coin de la scène, avec d’autres personnalités soutenant la candidature Le Pen, M. Mégret a écouté le discours du président du Front national, dans lequel celui-ci s’est présenté comme le chef de file du “combat de la civilisation contre la barbarie”.
L’hôte des lieux, le numéro 2 du FN Bruno Gollnisch, a bien salué la “réconciliation” avec M. Mégret, faisant applaudir par la salle le nom du président du Mouvement national républicain, mais M. Le Pen n’a fait aucune allusion à son ancien lieutenant.
“Les hommes d’Etat ne doivent pas garder le souvenir des faiblesses des hommes”, ni des “offenses de leurs ennemis”, car ils “ne doivent garder le souvenir de rien qui puisse constituer un obstacle à la collaboration patriotique”, s’est contenté d’affirmer M. Le Pen.
Dans sa volonté de se rapprocher avec M. Mégret, le président du FN Jean-Marie Le Pen doit composer avec l’opposition de sa fille Marine, directrice stratégique de sa campagne, et du secrétaire général du parti, Louis Aliot, tous deux soucieux de maintenir M. Mégret à l’écart.
Le protocole de la réunion avait été mis au point par M. Le Pen et Mégret directement, lors de plusieurs négociations téléphoniques pendant la semaine. Et les deux hommes, qui ont pris le même avion pour venir de Paris, ont déjeuné ensemble à leur arrivée à Lyon.
Arrivant à la réunion, M. Mégret a préféré faire contre mauvaise fortune bon coeur, s’autorisant juste un brin d’ironie: à la convention FN de Lille en février “j’ai soutenu Le Pen à distance, aujourd’hui je le soutiens en silence, ça progresse de plus en plus”, a-t-il constaté.
Le président du Mouvement national républicain aimerait prolonger “l’Union patriotique” avec M. Le Pen après la présidentielle, pour les législatives et les élections locales de 2008. Mais “on verra ça après le premier tour, ou après le deuxième tour”, a-t-il reconnu.
Parmi les autres participants au meeting de Lyon, figurent notamment l’écrivain et polémiste Alain Soral, qui se réclame du marxisme, ou Christian Perez, ex-frontiste, ex-mégretiste, président du parti populiste.
Bernard Antony, autre ex-frontiste et ancien chef de file de l’aile catholique traditionaliste du parti, a refusé pour sa part d’apparaître, même s’il soutient aujourd’hui la candidature de M. Le Pen.
“Je trouve suffoquant qu’on m’invite pour ne pas prendre la parole”, avait expliqué cette semaine M. Antony.
Avant la réunion publique, Jean-Marie Le Pen a déclaré aux journalistes qu’il n’était “plus très inquiet” sur sa capacité à obtenir les 500 parrainages nécessaires pour se présente.
“Je ne les ai pas encore”, mais “j’ai bon espoir”, a déclaré M. Le Pen.
Mais mieux vaut “un oiseau dans la main que deux dans le buisson”, a-t-il ajouté, pour signifier qu’il n’avait pas encore tous les formulaires en main.
M. Le Pen a dit qu’il “ne savait pas” si les déclarations de l’UMP et de M. Sarkozy dédouanant les maires le parrainant avait eu de l’effet. Quant aux signatures apportées par M. Mégret, elles n’ont pas été “déterminantes”, a ajouté M. Le Pen.
Bruno Mégret estime qu’au total, il aura apporté entre 20 et 25 parrainages à M. Le Pen.

Source : AFP

vendredi 9 mars 2007

ANTIFA HA-HA-HA !

Voici ce que les ennemis de la France ne veulent plus voir !

LE BUT DES EUROPÉÏSTES : CRÉER DES BLOCS RÉGIONAUX A ÉCHELLE CONTINENTALE POUR LES UNIFIER !

Après l'Europe, le Moyen-Orient :


La politique de décomposition et de recomposition du Moyen-Orient voulue par les Etats-Unis n'est pas une vue de l'esprit. En effet, pour la première fois, une revue militaire américaine, AFJ (Armed Forces Journal) a publié en juin 2006 une carte du Moyen-Orient sous la direction de Ralph Peters, ancien agent du renseignement militaire, dont les frontières sont redessinées en fonction des critères ethniques et confessionnels. En dehors du fait que son auteur cherche à lancer le débat sur un sujet éminemment brûlant, il faut considérer ce document comme un prototype. Rien n'est encore définitivement fixé. Pour les partisans d'une construction du Moyen-Orient en fonction des critères ethniques et confessionnels, il ne faut surtout pas se réjouir. C'est un véritable fruit empoisonné qui est proposé. En effet, comme Ralph Peters le précise lui-même, en raison de la multitude de minorités ethniques et religieuses et de leur dispersion, il est impossible d'appliquer ce principe dans son intégralité. En revanche, son auteur estime qu'il faut s'en rapprocher au maximum. Si les Etats-Unis et Israël sont favorables à ce type de bouleversement au Moyen-Orient, cela signifie qu'ils doivent y trouver de nombreux intérêts. La secrétaire d'Etat, Condoleezza Rice, n'a pas fait mystère des intentions américaines dans toute cette région. Lors d'un point de presse au département d'Etat, le 21 juillet 2006, en pleine guerre entre Israël et le Hezbollah, la représentante américaine s'est plu à affirmer : « Je ne vois pas l'intérêt de la diplomatie si c'est pour revenir au statu quo ante entre Israël et le Liban. Je pense que ce serait une erreur. Ce que nous voyons ici, d'une certaine manière, c'est le commencement, les contractions de la naissance d'un nouveau Moyen-Orient et quoique nous fassions, nous devons être certains que nous poussons vers le nouveau Moyen-Orient et que nous ne retournons pas à l'ancien ».Une telle déclaration est annonciatrice de grands changements. Rien n'est gratuit sur terre et le principe « diviser pour régner » entre largement dans les concepts atlantistes. En fait, la publication de ce type de carte dans une revue militaire américaine n'est que le reflet de nombreux travaux en cours au sein des think tanks américains, mais aussi allemands. En effet, on trouve des travaux similaires dans le cadre de la Fondation Bertelsmann, think tank allemand au service de Berlin, qui propose une refonte complète du Moyen-Orient, en particulier avec une remise en cause des frontières. La présentation d'un tel document dans une revue militaire américaine a aussi pour objectif de tester les réactions, en priorité celles des musulmans, afin d'aboutir à des débats inévitablement passionnés. En tablant sur les polémiques entre les partisans et les adversaires d'une telle recomposition du Moyen-Orient, on crée des lignes de fractures au sein des populations concernées sur lesquelles on peut agir en favorisant des rivalités et, indirectement, faire avancer le processus de décomposition. C'est particulièrement révélateur dans la remise en cause des principes de l'Islam. En effet, un des points forts de ces remaniements passent par la création d'un Etat sacré islamique détaché de l'Arabie Saoudite. Le but avoué est de pouvoir modifier sur le long terme les concepts de l'Islam afin de le rendre compatible avec la philosophie mondialiste. Il en va de même avec le christianisme depuis Vatican II. Cette politique peut être définie par un mot : l'internationalisme. En effet, cette décomposition politique du Moyen-Orient n'est qu'une étape pour procéder ensuite à un brassage complet de toutes les populations formatées par la même tournure d'esprit imprégnée par le matérialisme. Cette politique concerne les musulmans mais aussi la minorité chrétienne qui doivent, selon les adeptes du mondialisme, avoir une mentalité débarrassée des principes imprégnant la morale naturelle. Les préparatifs annoncés par les dirigeants euro-atlantistes pour l'ensemble du Moyen-Orient ne peuvent aboutir qu'en mettant à feu et à sang toute cette région. Par la suite, la création de nouvelles entités territoriales souhaitée par les néo-conservateurs a pour but ultime l'intégration dans le grand courant de la mondialisation pour le plus grand profit des multinationales et de l'idéologie apatride de leurs dirigeants.
Pierre Hillard, docteur en sciences politiques

Les inconnus : les publicitaires des candidats (exemple avec monsieur Beauregard)

jeudi 8 mars 2007

De Sorel à Soral : le nationalisme de gauche !





Il faut toujours commencer par le commencement…Je suis un déclassé, fils de notaire, né en province et monté à Paris en famille au début des années 60. Mon père ayant fait de mauvaises affaires, j’ai passé mon enfance dans une cité dortoir pour ouvriers de chez Renault, comme il en fleurissait tant à l’époque.C’était le gaullisme, les 30 glorieuses…



Ambiance populaire, républicaine et saine, la banlieue idéale... A la 6ième, mon père, sans argent, mais qui n’avait pas oublié ses origines, a tenu à me sortir de la communale de banlieue pour que je me frotte au grand monde.Je me suis donc retrouvé du jour au lendemain à Stan, collège catholique de renom, dans un univers que je ne connaissais pas, entre le marquis de Saluces et l’abbé Béguin… Je faisais tous les jours Meudon-la-Forêt, Montparnasse à vélo ! Le choc fut rude mais instructif. Je suis donc un atypique, fils de bourgeois déclassé, ayant passé son enfance au milieu des communistes dans une cité dortoir, mais allant au collège à Stanislas, soliste soprane à la chorale, qui chante à Notre Dame devant le cardinal Marty !
A l’adolescence, mon père ruiné quitte Paris, je me retrouve donc adolescent à Grenoble au début des années 70, ville pilote d’extrême gauche, où je fais l’apprentissage de la culture psychédélique, dominante chez les jeunes en rupture de ban de l’époque : musique pop, communautés, drogues… A 18 ans, mon père fuit la justice en quittant la France, et moi je monte à Paris où je vis seul dans la plus complète marginalité, vivant de chantiers de déco, de brocante… Dur mais formateur apprentissage de la survie.


Nous sommes en 76, c’est le mouvement punk, mouvement de révolte à la fois anti-bourgeois et anti-baba cool dans lequel je me retrouve complètement. Me voilà donc jeune adulte précaire, à la personnalité formée par mes origines et mon vécu : moyen bourgeois sans un sous, attaché à la culture et aux livres de part mon origine de classe, mais révolté et attiré par tout ce qui est contestataire et critique, de part mon vécu de déclassé.Dans un monde culturel entièrement sous contrôle de la gauche, je trouve mes repères dans une culture d’ultra-gauche, à la fois très anti-droite mais aussi très anti-gauche molle : ni Giscard ni Mitterrand… Plutôt de sensibilité « autonome », comme la plupart des marginaux que je croise dans les squats et autres lieux alternatifs qui me permettent de survivre et d’échapper au salariat.




Un constante dans cette sensibilité : sans que je sache bien pourquoi, j’ai toujours été un fervent patriote. Patriotisme qui s’ajoute chez moi à ma passion pour le sport. Sport qui est le dernier endroit où il est permis de vibrer pour la nation, l’équipe nationale, sans être suspecté d’être d’extrême droite (sujet à méditer). Mon virage vers le communisme et le PCF sera du à deux facteurs :Un, ma rencontre avec le monde, répugnant pour moi, de l’entreprise du tertiaire quand je m’essaierai, toujours pour survivre, au journalisme et à la publicité. Deux, ma découverte du mensonge trotskiste : monde de bourgeois, le plus souvent cosmopolites, ayant la haine du populo français et n’aspirant qu’à prendre la place de la bourgeoisie de droite catholique pour exercer le pouvoir à sa place, via l’idéologie du métissage et la psychanalyse, là où celle-ci régnait par l’enracinement et le catholicisme. Je précise que, dés cette époque, je préfère encore un facho à un gauchiste – terme synonyme de trotskiste pour qui connaît bien ce milieu – et que ce que je reproche au facho, que je croise en allant draguer l’étudiante en droit du côté de la fac d’Assas, ce n’est pas sa radicalité révolutionnaire, mais le fait que son origine bourgeoise le poussera inéluctablement à rallier l’UDF ou l’UMP une fois son diplôme en poche, comme les Madelin et autres Devedjian…



Mon entrée au PCF, qui comme son nom l’indique est le Parti Communiste FRANÇAIS, en pleine époque néo-libérale reagano-tatchérienne, est donc motivée à la fois par ma solidarité avec le travailleur français contre la bourgeoisie exploiteuse - d’ailleurs beaucoup moins patriote que le prolo de base -, mais aussi par haine du trotsko-gauchiste, qu’il soit LCR ou rallié au PS et à sa « culture de gouvernement ». Haine que le trotskiste me rend bien, lui qui me traite de « stalinien » (viendra ensuite après le reniement complet de Libé, le terme facho de gauche !). Pour vous faire ressentir l’ambiance, je crée d’ailleurs, fin 80, un « collectif des travailleurs des médias », nommé « cellule Ramon Mercader » dont le symbole est deux piolets croisés ! Avec ce collectif, qui publie le petit bulletin « La lettre écarlate », nous faisons campagne, moi et mes camarades, pour le « non » à Maastricht… Une campagne pour le non où PCF et FN se retrouvent dans le même camp…


Mon éloignement du PCF, au milieu des années 90, sera lui aussi motivé par deux facteurs. L’un de fond. Nous assistons à la déliquescence d’un parti marxiste qui, en plein époque néo-libérale où l’anti-libéralisme de parti est plus que jamais justifié, a renoncé à tout ses fondamentaux, allant jusqu’à coopter l’idiote arriviste et pseudo féministe Clémentine Autain. Un PCF qui choisit de sacrifier sa base pour sauver l’appareil et qui ne sera plus, à partir de cette époque, qu’une roue de secours du Parti socialiste contre accords aux élections locales, pour sauver quelques privilèges : groupe parlementaire, mairies… Une dégringolade dans la honte et le déshonneur dont le nadir sera la fête Prada place du colonel Fabien et l’engagement du décono-mondain Frédéric Beigbeder pour la présidentielle de 2002.


L’autre facteur sera plus accidentel : ce sera la publication, en 93 je crois, par Jean-Paul Cruse, membre avec moi du « collectif des travailleurs des médias », du texte « Vers un Front national » dans L’Idiot International (que nous contrôlions à l’époque via notre collectif). Texte qui, tout en faisant référence au Front national du Comité National de la Résistance - qui réussit pendant la guerre à faire l’union sacrée des gaullistes et des communistes contre l’ennemi commun - lançait ouvertement l’idée d’un rapprochement du PCF avec cet autre parti du peuple, qui prenait lui-même un tournant très anti-maastrichtien, le Front national de Jean-Marie Le Pen…Un retour du PCF à ses origines populaires, plutôt que de devenir chaque jour un peu plus le valet des libéraux du PS.Ce texte nous valu la mise au ban du Parti, le lâchage de Jean-Edern Hallier - pas très courageux sur ce coup là, paix à sa mémoire ! Et d’être étiquetés « rouge-bruns » par Libération, Le Monde et le Canard Enchaîné, trois canards sociaux-démocrates trop contents de se débarrasser de virulents critiques de gauche montrant du doigt leur droitisation (la vraie, celle de l’argent).



Au milieu des années 90, je me retrouve donc dans la nature, affublé de l’étiquette « rouge-brun », toujours patriote, toujours marxiste, toujours anti-trotskiste… avec pour seule satisfaction politique de me réjouir en douce de la montée de Le Pen, puisque nous avions pronostiqués que cette évolution du PCF lui vaudrait la désertion de son électorat populaire vers le mouvement frontiste, ce qui ne manqua pas d’arriver ; ce qui est parfaitement justifié et moral ! Le PCF de Marie-Georges Buffet, affublé de Clémentine Autain et autres tartes molles, ne pèse plus aujourd’hui que 3 % de l’électorat, derrière LO et la LCR, tandis que le FN du Le Pen de Valmy pèse autour de 20 %, soit les pourcentages exactement inverses de ceux des années 70…Je passe sur l’épisode de mon mariage, de mon repli sur la ville de Bayonne où je mûris mes idées, continue le travail de prospective et de synthèse en vivotant du journalisme sous pseudo au magazine « 20 ans », avec petit passage par le cinéma et même le RMI… Autant d’expériences souvent pénibles mais formatrices.



Mon retour à la politique, début 2000, se fera encore par deux voies.Un, l’irruption du nouveau Chevènement, très national-républicain, qui rompt ouvertement avec un PS, lui mûr pour le blairisme.Deux, la sortie en 2002 de mon pamphlet « Jusqu’ou va-t-on descendre ? » qui fait le bilan de 30 ans de trahison de tous les fondamentaux de gauche et où je prends ouvertement de parti du national-populisme contre le libéralisme libertaire. Livre prophétique qui connaîtra un grand retentissement, et un appréciable succès de librairie pour mes finances en bernes, puisqu’il coïncidera avec l’électrochoc du 21 avril, et la présence au 2ème tour de l’élection présidentielle du candidat national, Jean-Marie Le Pen. C’est lors de cette élection à deux tours que se produira non pas ma conversion, mais mon passage logique du PCF au FN, puisque ce passage du PCF au FN correspond, comme cette allocution a pour but de le démontrer, à une constante dans les convictions et les engagements qui ont toujours été les miens, à savoir : la défense, par tous les moyens, du peuple de France, des braves gens et des petites gens qui le porte à bout de bras… D’abord désireux de voter Chevènement au premier tour, je réalise assez vite que Chevènement n’a ni les épaules ni la liberté nécessaires pour aller au bout des ses convictions et qu’il rabattra pour Jospin au second tour. (Intuition confirmée ces derniers temps par son ralliement à Ségolène pour dix places aux législatives).

Pour la première fois, je décide de voter Le Pen, et j’appelle mes anciens camarades communistes, qui n’ont pas renoncé à leur convictions anti-système, à pratiquer comme moi ce « vote révolutionnaire ».

Les résultats du premier tour me donnent raison et me redonne espoir ;un espoir vite recouvert par le dégoût que m’inspire la campagne totalitaire de l’entre deux tours, campagne ignominieuse qui achève de me persuader que nous ne sommes plus en démocratie, et que le fascisme n’est décidément plus dans le camp qu’on croit ! Après avoir voté Le Pen au premier tour, par stratégie révolutionnaire, je vote donc aussi Le Pen au second par esprit de résistance… Ce qui fait de moi, le communiste qui n’avait jamais voté aux élections présidentielles par cohérence révolutionnaire, un type qui n’aura voté que deux fois aux présidentielles dans sa vie citoyenne, et deux fois pour Jean-Marie Le Pen !

Ces élections passées, qui marquent un virage dans l’histoire politique française, je repars écrire. Plusieurs livres sortirons entre 2002 et 2006 que vous connaissez ou que je vous invite à lire : Socrate à St Tropez, Misères du désir, Vers la Féminisation ?, Chute !... Livres qui parlent beaucoup de la destruction de la France par le communautarisme et le libéralisme.En 2005, je vote bien sûr contre la ratification de la constitution européenne au référendum après avoir pronostiqué la victoire du Non à 56 %. Là encore, le FN et le PCF sont ensemble dans le camp qui s’oppose au libre échangisme intégral et à ses destructions… Il me paraît clair que, depuis la ratification du traité de Maastricht, l’ennemi est le capitalisme financier mondialiste, dont l’Europe est le cheval de Troie. Il me paraît tout aussi clair que le peuple de France l’a majoritairement compris. Il me paraît clairement aussi que le seul homme politique qui peut combattre ce système ne peut être qu’un nationaliste, indépendant du monde de la finance, de la politique institutionnelle et des médias, et que ce seul homme politique au côté duquel il faut combattre est, aujourd’hui en France, quel que soit son passé et le mien, Jean-Marie Le Pen.

Ayant l’habitude, en bon léniniste, de toujours allier théorie et pratique, et ayant souvent la chance, dans ma vie, de rencontrer les bonnes personnes au bon moment, je suis mis en relation directe avec Le Pen lors d’un dîner informel, alors que je guerroie, au côté du comique antisioniste Dieudonné, contre un certain communautarisme très actif et persécuteur…Du coup, certains prétendront même que ce serait moi qui aurait fait se rencontrer les deux hommes !Pour revenir à ma rencontre avec Le Pen, je suis immédiatement séduit par le bonhomme, son humanité, sa drôlerie… traits de caractères qu’il me semble, nous avons en commun et, après quelques échanges, je décide de rallier son comité de campagne où je côtoie sa fille Marine et Olivier Martinelli.

La suite vous la connaissez, ce sera le discours de Valmy, mon coming out dans les médias afin de montrer à ceux qui pensaient m’outer, pour me faire tort, que j’assume ; et ma situation amusante - et coûteuse (c’est ça le luxe) - de seul écrivain et intellectuel de renom ayant rallié la campagne du candidat Le Pen, quand tant d’autres intellectuels, réputés de gauche, ont rejoint, soit Ségolène, soit, plus étrange encore, un certain Nicolas Sarkozy, libre-échangiste et atlantiste américain, sans doute pour des questions inavouées de politique étrangère ! Je terminerai cette allocution en vous parlant d’avenir, en vous annonçant notamment la création de l’association « Egalité & Réconciliation » dont je prends la présidence. Association « nationaliste de gauche » prônant la réconciliation nationale, et se donnant pour but - ce but qui est le mien depuis quinze ans : créer l’union sacrée de la gauche patriote et de la droite anti-financière, afin d’atteindre le pourcentage électoral qui permettra au peuple de France de reprendre le pouvoir par les urnes et le contrôle de son destin.

RASSEMBLEMENT AUTOUR DU SEUL CANDIDAT NATIONALISTE : JEAN-MARIE LEPEN


Il est aujourd’hui un constat évident : Le clivage entre patriotes et mondialistes est la dernière matrice à partir de laquelle le combat des idées s'affirme. La lutte actuelle est entre ceux qui croient aux valeurs de la nation et de la justice sociale et ceux qui, se croyant au-dessus des lois naturelles, considère la nation et la charité comme dépassé. Ce courant de pensée dominant au sein des intellectuels proches des pouvoirs économiques et médiatiques entraîne la France dans un abîme plus que douteux. Le 21 avril 2002, les nationalistes ont obtenu une grande victoire, les « petits-blancs », les « Français de souche » les « sales Toubabs », « ceux qui aiment ce pays », ont vu pour la première fois leurs oppresseurs pleurés à chaude larme ! C’était la retour possible d’une politique pour et par le peuple ! La majorité des Français c’est fait avoir une seconde fois, la France est désormais, au bout de 5 ans seulement, au bord du gouffre. Un seul homme peut nous obtenir un deuxième 21 avril et c’est LePen ! À l’initiative de la Gauche nationale - Front du travail, les nationalistes avec Lepen appellent tous les patriotes en marge du Front national à soutenir ce candidat, notre seul et unique représentant actuel et à dénoncer toutes les dérives et les manipulations susceptibles, au sein de notre camp, de nous faire perdre des voix.


Nous, nationalistes, sommes pour la préservation des différences et des identités. La seule Europe que nous reconnaissons est celle dont les frontières sont les remparts de la civilisation. On est aux antipodes de tous les menteurs, qu’ils soient « libéraux capitalistes » ou « capitalistes d’État à la Soviet » : Laguiller, Royal, Buffet, Bayrou, Beusancenot, Sarkozy, DeVilliers, ils ne sont qu’un seul et même parti, le parti des nantis, et nous n’en voulons plus ! Reprenant le célèbre « Internationaliste et fier de l’être » du dénommé Rockefeller, ils appellent même à dire oui à la Turquie en Europe. Ses inconscients sont trop détachés des réalités pour faire quoi que ce soit. Le Pen est le seul à dénoncer cette supercherie. Car, contrairement à ce qu'on nous raconte, les communistes et les libéraux sont complices. Ils se rejètent les fautes mais sur le fond, sur la finale, ils sont d’accord ! Quant au Vicomte Delarocque-Devilliers, il n’est que le pantin de l’UMP, présent pour retirer le maximum de voix à LePen comme le système l’a toujours fait, y compris avec d’autres candidats. Ils se rejettent la balle -qui des États, qui de Bruxelles est responsable- mais quand il s'agit de voter les politiques antisociales au niveau national ou européen, ils sont d'accord. Stoppons cette politique, stoppons la duperie et la spoliation : La France aux Français !


PAS UNE VOIX NATIONALISTE CONTRE LEPEN ! POUR UN NOUVEAU 21 AVRIL ! POUR UNE NOUVELLE VICTOIRE DE LA FRANCE D’EN BAS SUR LA FRANCE D’EN HAUT ! QUI VIVE ? FRANCE !

mardi 6 mars 2007

Les marchés ne doivent pas se substituer aux nations !


Le mondialisme a pour but d’instaurer un gouvernement mondial de prêteurs, investisseurs, banquiers… capable de donner les lignes directrices de la politique de chaque Etat. Son but premier est l’explosion des nations et la perte de souveraineté de tous les pays. Il souhaite les remplacer par des blocs continentaux divisés en régions, capables de détruire en profondeur les identités. La prochaine étape sera la fusion de ces blocs en une fédération mondiale. Sa première arme est le système médiatique. Son rôle est de conquérir les mentalités, de nous rendre stupides. Sa deuxième arme est la conquête à l’échelle mondiale des matières premières. Les grandes multinationales U.S. représentent à elles seules la seconde puissance économique mondiale. Vous pensiez être les résistants au nouvel ordre mondial ? Le nationalisme c’est avant tout, comme son nom l’indique, défendre la nation. Or, l’idée d’Europe des régions, ce n’est pas autre chose que l’envie de vouloir détruire les nations, ce n’est pas autre chose que l’accord idéologique avec les aspirations d’un Rothschild ou d’un Rockefeller. Les seules résistants à l’ordre mondiale qui soit sont ceux qui reste attaché à la France et aux structures nationales seules susceptibles de faire barrage au nouvel ordre mondial. Si vraiment vous êtes un « résistant au nouvel ordre mondial », alors prouvez-le, battez-vous pour l’indépendance de la France et, aux prochaines élections, VOTEZ JEAN-MARIE LE PEN !

La France aux Français !


LE PEN EST LE SEUL CANDIDAT, NOUS DISONS BIEN LE SEUL, À VOULOIR SORTIR DE L'EUROPE ! Saviez-vous que la quasi-totalité des lois qui passe à l'Assemblée nationale sont à la base des directives européennes ? Vous votez pour des gens qui, de toute manière, prennent leurs directives de technocrates européens pour qui VOUS NE VOTEZ PAS !
LE PEN EST LE SEUL CANDIDAT A VOULOIR
VOUS RENDRE LA PAROLE !
VOTEZ FRANÇAIS, VOTEZ LEPEN !

Une raison de sortir de l'Europe ?

Le 15 novembre 2006, la directive dite "Bolkestein" à été votée à Bruxelles. Vous le saviez? Non? Et pour cause...





Robert Spieler : LePen doit pouvoir se présenter !



Plusieurs candidats à l’élection présidentielle, dont Le Pen, Waechter et Besancenot, ont fait état de la difficulté de réunir les cinq cent signatures leur permettant d’être candidats.

Il serait particulièrement choquant que l’élection se joue entre candidats des partis dominants du système et exclue des sensibilités qui représentent près de 40% des électeurs.

Le fait que Le Pen, qui fut présent au second tour de la dernière élection ne puisse être candidat, serait un scandale majeur qui prouverait que nous ne vivons plus dans un régime démocratique.

Les divergences entre Alsace d’Abord et le FN sont connues. Je suis régionaliste et partisan d’une Europe de la puissance qu’il convient de ne pas confondre avec l’impuissance bureaucratique de Bruxelles. Le FN développe quant à lui un discours jacobin et anti-européen.

Il n’en demeure pas moins, qu’en démocratie, la parole et son expression électorale devraient être libres.

A la pression des partis du système, se rajoute l’autocensure de maires craignant d’éventuelles représailles la plupart du temps imaginaires.

Permettre à Le Pen, comme d'ailleurs à Waechter ou Besancenot, d’être candidat ne signifie pas être d’accord avec toutes leurs idées. Au demeurant une partie importante des électeurs alsaciens de Le Pen exprime davantage un vote de protestation contre le système qu’une adhésion à toutes ses propositions.

Robert Spieler appelle les maires alsaciens à faire preuve d’un minimum de courage et à ne pas empêcher l’expression démocratique d’une importante partie de leurs électeurs.

samedi 3 mars 2007

Les "identitaires" aussi, soutiennent Jean-Marie LePen


Communiqué reçu par Altermédia en date du 11 janvier 2007


Dans le cadre de l’appel à l’union patriotique lancé par Jean Marie Le Pen, Pierre Vial et son groupe politique Europe Identité ont décidés de soutenir le Front National de Villeurbanne en participant aux campagnes électorales de 2007.
A l’heure ou notre pays sombre dans le chaos, ils nous a semblé de notre devoir d’oublier nos différents passés afin de faire front commun pour s’opposer à la politique du renoncement national prônée par nos adversaires.
Cette collaboration est aussi un signe fort à l’encontre des villeurbannais en leur montrant que le seul parti porteur d’espoir et qui représente donc une réelle alternative pour notre pays et notre ville reste le Front National .
Mr Jean Paul Bret, bientôt ancien maire de Villeurbanne et l’ex -condamné par la justice Henry Chabert représentant de l’UMP, savent dorénavant qu’ils trouveront dans cette union un farouche adversaire politique à Villeurbanne.
Nous appelons donc les villeurbannais pour qui la France, son histoire et ses valeurs ont encore un sens à nous rejoindre dans notre combat.
Le Directeur de campagne du FN Villeurbanne et Stephane Poncet Responsable FN Villeurbanne

L'élection présidentielle est-elle encore démocratique ?


Les médias nous refont le coup de 2002. D'ores et déjà, ils annoncent les candidats présents au second tour, Sarkolène et Ségozy, comme ils avaient annoncé il y a cinq ans avec si peu de clairvoyance un duel Chirac-Jospin.


Mais cette année, ils pourraient bien avoir raison. Pas pour des raisons objectives, non. Mais pour des raisons bassement politiciennes. L'UMPS a peur. Peur que les Français expriment à nouveau, comme ils l'ont fait le 21 avril 2002 et le 29 mai 2005, leur rejet d'un système qui mène la France à la ruine depuis 30 ans. Un système qui a tout cassé : l'école, le travail, la protection sociale, l'économie, la famille, les valeurs... Mais dont la gauche comme la droite vivent, grassement, depuis des décennies.


Pour cela, ils ont changé les règles du jeu de l'élection présidentielle, pour s'assurer que les candidats qui ne font pas partie de leur petit « club » auront les pires difficultés pour ne serait-ce qu'être présents au premier tour. Là où en 2002, les candidats avaient cinq semaines pour obtenir les 500 signatures d'élus nécessaires, ils n'en auront plus que trois, sans compter les mots d'ordre aux élus, venant du PS comme de l'UMP. C'est bien sûr Jean-Marie Le Pen qui est visé. Mais que l'on soit d'accord ou pas avec leur vote, les Français doivent avoir le choix, tous les choix possibles à l'élection présidentielle.


C'est ce qu'on appelle la démocratie. Ils sont en train de la violer.


Catherine Salagnac,conseillère régionale
Front national de Seine-Maritime

Pendant que la France meurt, le Vicomte fait "ses bédides affaires"


Un député UMP, Manuel Aeschlimann, proche de Nicolas Sarkozy, vient de laisser entendre que certains des maires qui avaient accordé leur signature à Jean-Marie Le Pen en 2002 ne renouvelleraient pas leur geste démocratique en 2007, victimes des pressions du parti de droite collaborationniste.


On se souvient qu'en 2002, Le Pen avait réussi de justesse à obtenir les 500 parrainages, et le Système, non content de son attitude totalitaire, avait poussé le cynisme jusqu'à l'accuser de faire exprès de se « poser en victime » pour attirer la sympathie des électeurs.


Et de cynisme, Manuel Aeschliman n'en manque pas, ni de fourberie. Selon le Figaro, ce député poserait dès maintenant la question des signatures de Le Pen dans l'objectif de préparer l'opinion à l'éventualité de l'absence du FN aux présidentielles. Le député déclarera benoîtement sur France Info que Jean-Marie Le Pen est « plutôt un has been », et que c'est pourquoi « certains maires » ont l'intention de donner leur signature plutôt « à Philippe de Villiers ou Nicolas Sarkozy » « parce qu'ils incarnent, eux aussi, l'ordre ». Sauf que les deux politiques sus-cités n'incarnent pas grand chose pour les électeurs du Front et d'autres, sinon la trahison de la France, l'un par sa politique immigrationniste et pro-musulmane dissimulée derrière des discours musclés, et l'autre aristo par son rôle mesquin de rabatteur des électeurs du FN vers l'UMP aux seconds tours des élections, faisant donc voter contre le parti dont il reprend les idées.


D'ailleurs si ce dernier la joue finement en déclarant qu'il est « tout à fait anormal que Jean-Marie Le Pen, qui avait atteint le second tour en 2002, ne puisse concourir en 2007 », ajoutant que « Le priver de ses signatures reviendrait à remplacer la vraie démocratie par la démocratie du tapis vert.», son secrétaire général Guillaume Peltier, le fameux recopieur de discours de Jean-Marie Le Pen , dévoile la stratégie MPF en déclarant carrément « Jean-Marie Le Pen a 77 ans et n'est pas certain d'obtenir les cinq cents signatures », d'où « un vaste espace» pour «la droite nationale incarnée par Philippe de Villiers».


Ainsi, tel est le programme du Vicomte : espérer que Le Pen ne puisse se présenter, en donnant sûrement la main à la pâte au frère UMP pour faire pression sur les Maires, pour récupérer tout cuits ses électeurs. Il aurait pu d'ailleurs par gratitude rendre hommage au courageux et digne Jean-Marie Le Pen, dont il souhaite récupérer tranquillement les électeurs, mais non, il insiste en plus sur son âge qui serait handicapant ! Vraiment ce Guillaume Peltier ne manque pas d'air et semble bien parti pour dépasser son maître. Il lui faudrait plus de discrétion dans l'abjection et la trahison.


Le secrétaire villiériste est de plus décidément en phase avec l'UMP et son député Manuel Aeschlimann, lorsqu'il s'agit de donner des raisons de croire en l'absence de Le Pen. En effet en 2002, les maires avaient été élus ou réélus l'année précédente, tandis qu'en 2007, ils devront l'être l'année suivante. Les deux brigands pensent donc que les maires qui envisagent de se représenter y réfléchiront peut-être à deux fois avant de signer pour Jean-Marie Le Pen, surtout si, comme cela est parfois évoqué, l'UMP refuse d'investir ou de soutenir aux municipales ceux qui l'auront parrainé... Telle est leur conception de la démocratie...


En attendant, le FN croit au courage des maires, qui espérons-le, ne se laisseront pas intimider et prendront en compte l'immense courage de l'homme Le Pen et la situation catastrophique de la France, dont l'UMP est largement responsable, mais aussi son complice le MPF, qui appelle toujours à voter UMP aux seconds tours des élections, même et surtout lorsque le FN y est présent, comme cela avait été le cas en 2002 lors du duel Le Pen-Chirac, ou récemment à des cantonales partielles après le 29 mai.


vendredi 2 mars 2007

Bernard Anthony : Je voterai Le Pen, quand même...


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article en date du 21 février 2007



"Un éloignement moral et des divergences politiques me séparent de Jean-Marie Le Pen et du Front National.

De ce mouvement, hélas devenu un parti, j’ai été exclu sans la moindre confrontation, médiocrement, n’ayant appris cette exclusion que par des journaux évoquant d’ailleurs des prétextes différents.

Mais je crois que si la politique est en partie l’art d’exprimer des sentiments, elle se dévalue lorsqu’elle est conduite par le ressentiment.

Aussi, si Le Pen m’a exclu, je ne l’exclus pas.

Car, tout bien réfléchi, je pense qu’il faut, pour le bien commun national, voter une fois encore pour lui.

D’abord parce qu’il a tenu ces derniers temps des positions plus fermes sur deux de nos plus importantes exigences politiques : la défense de la vie innocente, la liberté scolaire. Nous aimerions en revanche le voir se rapprocher de ce que nous savons absolument nécessaire pour l’avenir français : une politique de ferme opposition à l’avancée de l’idéologie islamique.

Nous faisons sur ce point des propositions réalistes dans le respect des personnes et de la liberté religieuse. Et c’est justement d’abord la défense de ces principes qu’il faut exiger des représentants de l’islam en France. En France et ailleurs. Puisque non seulement nous ne vivons plus dans un monde de repli national, mais que l’islam, plus que le christianisme, met en avant le principe de son unité communautaire mondiale, il faut attendre de ses éminents dirigeants en France qu’ils agissent concrètement pour les droits de l’homme auxquels ils se réfèrent tant. Ainsi, l’égalité des droits civiques et de liberté religieuse devrait-elle être assurée aux non-musulmans dans les pays dits d’islam. On ne devrait plus accepter au XXIe siècle que des dizaines de pays appliquent encore une politique de dhimmitude, c’est à dire, pour mieux nous faire comprendre, une pratique d’apartheid juridique et religieux.

Le droit d’ingérence sur la question des droits de l’homme étant désormais un principe des relations internationales, il n’est pas tolérable qu’il soit appliqué à sens unique. La France et l’Europe ne devraient pas admettre la relégation dans laquelle sont maintenus les chrétiens, même là où ils subsistent encore nombreux comme en Egypte. Je suis persuadé qu’en abordant la question de l’islam en France et dans le monde, Jean-Marie Le Pen qui peut avoir des conseillés avisés en la matière, obtiendrait l’approbation de l’immense majorité des Français mais aussi des musulmans éclairés.

Je voterai pour lui parce qu’il capte et exprime souvent encore dans le souffle de son discours, les angoisses, les révoltes, les aspirations d’un grand nombre de Français à une autre politique face à ce que j’ai appelé le génocide français ; ce génocide par substitution consistant notamment à remplacer par l’immigration les vides causés par l’avortement.

Que Jean-Marie Le Pen puisse ne pas se présenter serait une flagrante et odieuse injustice pour les Français qui ne se reconnaissent dans aucun des autres candidats.Voilà pourquoi, il y a déjà plusieurs mois, j’ai appelé mes amis à peser, s’ils le pouvaient, pour qu’il obtienne les parrainages nécessaires à sa candidature.

Je ne voudrais pas non plus que l’abstention ou des votes même peu nombreux pour un candidat, disons peu convaincant, permettent à un François Bayrou idéologiquement affligeant d’être mieux placé que lui.

Je ne tiendrai naturellement pas rigueur aux amis qui ne partagent pas ma position sur ce choix conjoncturel. Car j’ai en effet toujours l’entière conviction qu’il faudra demain oeuvrer pour une véritable unité de la résistance nationale, fondée d’abord sur son enracinement clairement réaffirmé dans les valeurs morales et culturelles fondamentales de notre civilisation gréco-latine et chrétienne ; mais simultanément aussi sur la recherche des solutions politiques, économiques, sociales et syndicales nouvelles répondant aux défis de notre époque.

Il faudra sans aucun doute aussi repenser les formes d’organisation et d’utilisation des compétences, dans l’ordre des relations humaines, à la lumière des acquis positifs de la modernité.

Pour l’immédiat je suis persuadé que le vote pour Jean-Marie Le Pen manifestera la permanence d’une volonté de continuer la France."

Ainsi, après la lecture d'un texte qui à ses raisons, qui à le mérite d'être droit et franc, nous sommes en droit de nous demander pourquoi l'adresse du blog de Bernard Anthony se trouve en lien sur un site appelant les nationalistes à ne pas voter pour Jean-Marie Le Pen. Bernard Anthony, que l'on ne peut ignorer être un homme de foi et de combat, est-il lui-même au courant ?

jeudi 1 mars 2007

Exigeons le retour au Franc !

Pour certains, la France est notre Patrie depuis la Gaule Romaine, d'autres le baptême de Clovis, depuis le bapême de Reims et le combat patriotique de Sainte Jeanne d'Arc ou bien encore depuis la Révolution. Mais si cette réflexion sur la naissance de la France peut encore paraître d'actualité, elle ne le serait plus si notre Pays disparaissait. La France résista des années durant à toutes formes d'invasion, depuis "nos ancêtres les Gaulois" (devrais-je rappeler Vercingétorix?) jusqu'à l'invasion venant de l'est durant le seconde guerre mondiale, et c'est pourtant sans l'aide d'avions, de sous-marins ou de tout autre attirail militaire que la France connu, le 1er Janvier 2002, l'amorçage d'une de ses plus grandes défaites historiques : la perte de sa souveraineté.


Il serait considéré comme ridicule de croire qu'il suffirait de moins d'un an pour empêcher tout un peuple de parler sa langue, de lui en substituer une qui n'a pour seule origine que des esprits dérangés en mal d'Utopie. C'est pourtant ce qui c'est passé il y a de cela presque deux ans, on a arraché de force la langue monétaire de nombreux pays européens, pour soumettre des peuples à une monnaire qui n'a pour réalité économique que celle de deux années de croissance ralentie, d'inflation et de chômage grandissant. (Sondage Figaro économique de janvier 2004 : 55% des Français restent attaché au Franc national).


Depuis l'arrivé de l'Euro, les grands financiers ont vanté les mérites de l' "Euro faible" et de l' "Euro fort" sans même y voir une contradicion, l'inflation (18%) est devenue tellement grossière qu'elle n'est même plus dissimulable, il serait même dit dans certaines classes scolaires que sans l'Euro l'économie aurait vécu une période effroyable, alors que tous les pays européens qui ne font pas partis de la "zone Euro" ont une bien meilleure croissance que ceux qui y sont. Tout et n'importe quoi a été dit sur cette vache folle de l'économie. La réalité est la plu désagréable réponse faite aux Français. Existe-t-il une fête pour commémorer la naissance de cette monnaie? Seul un pays non-européen pourrait faire cela! Reste à savoir si la France survivra encore longtemps avec la disparition (évidemment temporaire) du Franc.


De façon mensuel, des militaires, des écrivains, des poètes, des ouvriers et des Français de toutes origines sociales participent au rallumage de la flamme de l'arc de triomphe. C'est par ces hommes et ces femmes que le soldat inconnu et ce qu'il symbolise ne sera jamais oublié. Mais si cette flamme se voit souvent rallumée pour le bonheur de quelques-uns, une autre est encore plus présente à nos esprits, la flamme de la résistance nationale ! Jamais d'occupants aussi cruels soit-il n'eu l'audace d'empêcher la France de parler. Payer en Franc c'est comme parler français, peut-elle être imaginable cette humiliation que ressent un homme âgé en payant sa baguette avec une monnaie étrangère ? Le commerce est aussi une communication et le label "Euro" est une insulte à la démarche commercial pour vendre une Europe qui ne fait déjà plus rire les Serbes de Kosovo. C'est donc dans cet esprit de révolte, de résistance, que nous tenons à rappeler cette date : le 17 février 2002, ce triste jour de la disparition du Franc et de la souveraineté monétaire de beaucoup d'autres pays. Il en va de la diversité des nations du continent européen. La perte du Franc ne sera pas passée sous silence, nos enfants ne doivent grandir en apatride.

Comment un homme pourrait-il regarder son fils ou sa fille dans les yeux, avec sincérité, si celui-ci n'a même pas tenté de protéger leur héritage ? Voilà à quoi sert de rappeler la perte du Franc, pour faire en sorte que la trahison historique de la France d'en haut sur la France d'en bas ne soit pas un non-évènement et que justice soit enfin rendue ! Ce n'est nis une plainte, ni une nostalgie mais de l'honneur : celui de défendre la souveraineté de notre peuple.


Pour que vive la France, vive le Franc !